Pour compléter le programme, vous devez compléter au moins 4 des 16 modules optionnels. Vous aurez accès aux modules principaux et finaux requis pour obtenir le certificat. Afin de compléter un module, vous devrez obtenir la note de 80% sur le quiz associer à cette leçon.
Points accumulés:
Modules principaux
Pour compléter la formation et obtenir votre certificat, vous devez compléter ces modules finaux. Pour avoir accès à ces modules, vous devez d’abord compléter 4 modules optionnels.
Les membres de Préservation du bois Canada ont sélectionné les 11 modules ci-dessous afin d’offrir aux opérateurs une trousse d’outils variés.
Modules optionnels
Pour accéder aux modules finaux, vous devez avoir au moins 40 points. Chaque module optionnel vaut 10 points.
Comme son nom l’indique, le SIMDUT (Système d’information sur les matières dangereuses utilisées au travail) sert à classer tous les produits dangereux connus qu’un employé peut être appelé à utiliser au travail. Il a force de loi et doit être respecté. Il décrit les risques et l’EPI à porter pour ne pas se blesser ou tomber malade. Il comprend la FDS (FS), une fiche qui doit accompagner chaque produit chimique sur laquelle sont indiqués les caractéristiques du produit et les risques qu’il présente et bien sûr, comment le manipuler en toute sécurité. Ce module est l’un des plus importants du cours et doit être consulté en cas de questions sur un produit chimique donné.
Pour chaque produit chimique, il existe une limite d’exposition en milieu de travail prescrite par la loi pour les personnes qui manipulent de tels produits. Par conséquent, l'air des zones de l’usine où un travailleur est le plus susceptible d’être exposé à des concentrations supérieures aux limites admissibles fait l’objet chaque année d’une surveillance. Celle-ci implique que le travailleur porte un détecteur pendant un certain temps selon le produit chimique surveillé. Ce module explique l’équipement employé et où la réglementation peut être consultée.
Ce module explique les fonctions, les droits et la composition d’un comité de santé et de sécurité au travail. Il s’agit d’un groupe formé de représentants de la direction et des travailleurs qui se rencontre à intervalles périodiques pour discuter des problèmes de sécurité à l’usine et des moyens de les régler et pour souligner les nouveaux problèmes relevés ou signalés par les employés. Des directives et des exigences prévues par la loi s’appliquent à ces comités et il incombe à chaque employé de les connaître. Après avoir suivi ce module, vous aurez une bonne compréhension de ces obligations et de vos droits en milieu de travail.
L’ACC et l’AACZ (arséniate ammoniacal de cuivre et de zinc) sont tous deux employés pour traiter divers produits à usage industriel. Avec l’ACC, on traite des poteaux des services publics, des pieux pour clôture, du contreplaqué, des fondations en bois traité et des pilotis et du bois de marine. Quant à l’AACZ, il sert à traiter des traverses de chemins de fer, des structures en milieu marin et le bois d'œuvre de grande dimension. Ce module aborde l’assurance et le contrôle de la qualité nécessaires pour garantir un traitement du bois dont le niveau de qualité satisfait aux diverses normes relatives à l’utilisation des produits traités avec ces deux composés chimiques. Il examine aussi les techniques d’échantillonnage, l’interprétation des résultats ainsi que les analyses effectuées à des fins de contrôle de la qualité propres à ces produits. Ce module est particulièrement important pour ceux qui traitent le bois à l’aide de ces produits chimiques.
Ces dernières années, les acteurs de l’industrie se sont mis à employer différents produits de préservation à base de cuivre. Le présent module présente certaines des exigences qu’un opérateur doit connaître pour bien effectuer son travail et s'assurer que les pièces traitées répondent aux normes de l’industrie. Le traitement et les critères de qualité du traitement sont abordés, de même que les contrôles réalisés pendant et après le traitement. Le module traite aussi des procédés normalisés qui sont maintenant employés couramment au sein de l’industrie et des systèmes automatisés utilisés, qui servent à effectuer toutes les fonctions d’enregistrement importantes. Enfin, il passe en revue les obligations relatives aux inspections indépendantes et les fonctions de l'inspecteur indépendant ainsi que les exigences concernant l’étalonnage annuel du matériel de surveillance.
Ce module est appuyé par des images pour illustrer les violations des règles de sécurité constatées le plus souvent dans les usines du Canada et des États-Unis. La légende précise la violation à une règle canadienne. Le module peut servir de guide pendant une visite de l’usine, notamment pour tenter de repérer l’un des problèmes qui y sont soulevés.
Ce module définit ce que sont les déchets dangereux et présente les exigences applicables aux producteurs de déchets dangereux (homologation, documentation, etc.), les mesures d’urgence en cas de rejets accidentels, les types de récipients pour déchets dangereux (y compris les contenants d’entreposage temporaire ou « satellites ») et l’exclusion des eaux usées. La dernière partie du module passe en revue les dix principales erreurs en gestion des déchets dangereux relevées au fil des années par les auditeurs dans les usines de traitement et termine par un résumé des pratiques exemplaires de gestion.
Ce module vous aidera à mieux comprendre ce qu'est un espace clos et les règlements sur les précautions à prendre avant d’entrer dans un tel espace. Il précise qui est autorisé à entrer, qui doit rester à l'extérieur, comment la surveillance de l'espace clos est effectuée et ce qu’il faut consigner pendant l'accès à l’espace clos. Voici certains des risques abordés dans le module : ensevelissement, inondation, particules, etc., insuffisance d’oxygène (19,5 % ou moins) ou suroxygénation (23,5 % ou plus), présence possible de gaz ou de vapeurs inflammables, d'où la nécessité d'effectuer des essais atmosphériques, poussières combustibles (silos), substances toxiques (réservoirs de produits chimiques) et dangers physiques (appareils au sein de l’espace clos, c.-à-d. les agitateurs, etc. Les règles relatives à l’accès aux espaces clos sont très précises et il faut les suivre, telles qu’elles sont définies dans la réglementation.
Le cadenassage et l’étiquetage touchent à la fois la personne responsable de l'entretien et l’opérateur. Les deux pourraient se blesser, voire mourir, s’ils ne suivent pas les règles de cadenassage et d’étiquetage. Ce module donne un aperçu des mesures à prendre, des personnes concernées et des procédures à suivre par toutes les parties. Il précise aussi la documentation nécessaire pour respecter les obligations prévues par la loi. Il explique les différentes sources d’énergie dangereuses des appareils, même quand ils sont hors tension, et comment dissiper en toute sécurité l’énergie accumulée avant de commencer les travaux. Il aborde les divers types de dispositifs employés durant la procédure de cadenassage et d’étiquetage. Il s'agit d’un module obligatoire pour les opérateurs et le personnel d’entretien.
Même si la plupart des usines s’assurent que le personnel appelé à conduire un chariot élévateur à fourche soit formé par des professionnels, ce module se veut une excellente mise à jour. Il traite des problèmes les plus courants quant à la conduite des chariots élévateurs, des questions d’entretien et de sécurité et des pratiques à adopter et à éviter.
Le DRT vise avant tout à assurer la conformité à une série de recommandations approuvées par le gouvernement et à documenter le respect des exigences, à des fins de vérification et d’approbation. Le module passe en revue la documentation nécessaire pour les onze sections, dont les six sur la conception et l'exploitation et les cinq autres sur la santé, la sécurité et l'environnement. La documentation doit porter sur ce qui suit : manuel d'exploitation, description de poste et EPI, toutes les politiques d’entreprise relatives à l’ensemble des activités, tous les programmes de sécurité y compris les comités, la manutention et la livraison de produits chimiques, la surveillance de l'atmosphère et tout autre aspect qui touche à l'exploitation de l’usine.
Ce module passe en revue deux types d’analyseurs à fluorescence X utilisés actuellement dans les usines de traitement. Il explique ce à quoi ils servent et comment les mettre en place et les utiliser pour analyser des échantillons de bois et de solutions. Il donne aussi un aperçu des hygromètres, de leur mode de fonctionnement et de la façon de les utiliser.
Ce module explique les différences qui existent entre les deux principaux types d'analyseurs et fournit quelques directives d'entretien de base. Il détaille la procédure à suivre pour envoyer des échantillons à des laboratoires indépendants et aux laboratoires des fournisseurs de produits chimiques. Enfin, il donne un exemple du type de rapports d’analyse produits habituellement. Il s’agit d’un module assez détaillé.
Ce module donne des renseignements concis, mais complets sur l'utilisation des séchoirs ou des chambres de stabilisation et de fixation, leur mode de fonctionnement et les procédures d'entretien dont ils doivent faire l’objet. Il énumère également les défauts du bois causés par les cycles de séchage et la façon d’empiler les pièces dans les séchoirs. Il traite aussi du fonctionnement des ventilateurs et se termine par les dix pratiques les plus efficaces pour optimiser le fonctionnement du séchoir et ainsi améliorer la qualité et le rendement.
Ce module fournit des renseignements sur la façon dont les produits chimiques se fixent dans la zone d'imprégnation du bois. Le terme fixation s’applique surtout au traitement chimique à l’ACC (arséniate de cuivre chromaté), tandis que la stabilisation renvoie au procédé qui sert à stabiliser dans le bois les produits chimiques nouvellement formés. Les deux termes se rapportent à la liaison des produits chimiques avec le bois, afin que la résistance à la lixiviation soit la plus grande possible. Le module traite aussi des essais à effectuer pour déterminer la fixation et la stabilisation.