Ce module fournit des renseignements sur la façon dont les produits chimiques se fixent dans la zone d'imprégnation du bois. Le terme fixation s’applique surtout au traitement chimique à l’ACC (arséniate de cuivre chromaté), tandis que la stabilisation renvoie au procédé qui sert à stabiliser dans le bois les produits chimiques nouvellement formés. Les deux termes se rapportent à la liaison des produits chimiques avec le bois, afin que la résistance à la lixiviation soit la plus grande possible. Le module traite aussi des essais à effectuer pour déterminer la fixation et la stabilisation.
Ce module donne des renseignements concis, mais complets sur l'utilisation des séchoirs ou des chambres de stabilisation et de fixation, leur mode de fonctionnement et les procédures d'entretien dont ils doivent faire l’objet. Il énumère également les défauts du bois causés par les cycles de séchage et la façon d’empiler les pièces dans les séchoirs. Il traite aussi du fonctionnement des ventilateurs et se termine par les dix pratiques les plus efficaces pour optimiser le fonctionnement du séchoir et ainsi améliorer la qualité et le rendement.
Ce module explique les différences qui existent entre les deux principaux types d'analyseurs et fournit quelques directives d'entretien de base. Il détaille la procédure à suivre pour envoyer des échantillons à des laboratoires indépendants et aux laboratoires des fournisseurs de produits chimiques. Enfin, il donne un exemple du type de rapports d’analyse produits habituellement. Il s’agit d’un module assez détaillé.
Ce module passe en revue deux types d’analyseurs à fluorescence X utilisés actuellement dans les usines de traitement. Il explique ce à quoi ils servent et comment les mettre en place et les utiliser pour analyser des échantillons de bois et de solutions. Il donne aussi un aperçu des hygromètres, de leur mode de fonctionnement et de la façon de les utiliser.
Le DRT vise avant tout à assurer la conformité à une série de recommandations approuvées par le gouvernement et à documenter le respect des exigences, à des fins de vérification et d’approbation. Le module passe en revue la documentation nécessaire pour les onze sections, dont les six sur la conception et l'exploitation et les cinq autres sur la santé, la sécurité et l'environnement. La documentation doit porter sur ce qui suit : manuel d'exploitation, description de poste et EPI, toutes les politiques d’entreprise relatives à l’ensemble des activités, tous les programmes de sécurité y compris les comités, la manutention et la livraison de produits chimiques, la surveillance de l'atmosphère et tout autre aspect qui touche à l'exploitation de l’usine.
Même si la plupart des usines s’assurent que le personnel appelé à conduire un chariot élévateur à fourche soit formé par des professionnels, ce module se veut une excellente mise à jour. Il traite des problèmes les plus courants quant à la conduite des chariots élévateurs, des questions d’entretien et de sécurité et des pratiques à adopter et à éviter.
Le cadenassage et l’étiquetage touchent à la fois la personne responsable de l'entretien et l’opérateur. Les deux pourraient se blesser, voire mourir, s’ils ne suivent pas les règles de cadenassage et d’étiquetage. Ce module donne un aperçu des mesures à prendre, des personnes concernées et des procédures à suivre par toutes les parties. Il précise aussi la documentation nécessaire pour respecter les obligations prévues par la loi. Il explique les différentes sources d’énergie dangereuses des appareils, même quand ils sont hors tension, et comment dissiper en toute sécurité l’énergie accumulée avant de commencer les travaux. Il aborde les divers types de dispositifs employés durant la procédure de cadenassage et d’étiquetage. Il s'agit d’un module obligatoire pour les opérateurs et le personnel d’entretien.
Ce module vous aidera à mieux comprendre ce qu'est un espace clos et les règlements sur les précautions à prendre avant d’entrer dans un tel espace. Il précise qui est autorisé à entrer, qui doit rester à l'extérieur, comment la surveillance de l'espace clos est effectuée et ce qu’il faut consigner pendant l'accès à l’espace clos. Voici certains des risques abordés dans le module : ensevelissement, inondation, particules, etc., insuffisance d’oxygène (19,5 % ou moins) ou suroxygénation (23,5 % ou plus), présence possible de gaz ou de vapeurs inflammables, d'où la nécessité d'effectuer des essais atmosphériques, poussières combustibles (silos), substances toxiques (réservoirs de produits chimiques) et dangers physiques (appareils au sein de l’espace clos, c.-à-d. les agitateurs, etc. Les règles relatives à l’accès aux espaces clos sont très précises et il faut les suivre, telles qu’elles sont définies dans la réglementation.
Ce module définit ce que sont les déchets dangereux et présente les exigences applicables aux producteurs de déchets dangereux (homologation, documentation, etc.), les mesures d’urgence en cas de rejets accidentels, les types de récipients pour déchets dangereux (y compris les contenants d’entreposage temporaire ou « satellites ») et l’exclusion des eaux usées. La dernière partie du module passe en revue les dix principales erreurs en gestion des déchets dangereux relevées au fil des années par les auditeurs dans les usines de traitement et termine par un résumé des pratiques exemplaires de gestion.
Ce module est appuyé par des images pour illustrer les violations des règles de sécurité constatées le plus souvent dans les usines du Canada et des États-Unis. La légende précise la violation à une règle canadienne. Le module peut servir de guide pendant une visite de l’usine, notamment pour tenter de repérer l’un des problèmes qui y sont soulevés.